Pages

07/02/2010

Thalassa à Djibouti : l'expédition Tara

Le lycée français de Djibouti travaille actuellement sur la question du développemnt durable à travers l'expédition Tara : http://sesdjibblog.over-blog.com/15-categorie-11269191.html

L'émission : Thalassa : L'’Expédition : Voyage à Djibouti duVendredi 05 Février 2010 - 20h35 jours : est accessible pendant 7 jours :

C’est l’un des endroits les plus chauds du monde, soumis aux séismes et aux soubresauts de ses volcans. C’est une terre aride, desséchée par les vents et les sables du désert, baignée par les eaux chaudes de l’Océan Indien et de la Mer Rouge. C’est une escale au carrefour de l’Afrique et de l’Asie, un ancien territoire français qui a toujours été au cœur des convoitises internationales.
Passage maritime, port militaire, porte de l’Ethiopie, Djibouti est une petite république indépendante située à l’entrée de la Mer Rouge, dans cette corne de l’Afrique chargée d’histoire. Ce pays confetti, dont la position stratégique a forgé le destin, est aujourd’hui au cœur d’une région explosive. Entourée de voisins agités, face au Yémen, base arrière des marines du monde entier luttant contre la piraterie, la petite république est plus que jamais sous les feux de l’actualité.
Entre histoire et aventure, Thalassa vous raconte Djibouti, ses caravanes de sel, ses nomades, ses illustres et poétiques visiteurs, son port débordant d’activités.

Les reportages de cette émission :
Extrait exclusif : Sur la route des Aventuriers

Un reportage de Juliette Lambot et Guy Nevers (durée 16 minutes)
Une production France Télévisions-Thalassa

Des paysages à couper le souffle, une nature minérale, brute et grandiose... C'est le territoire des Afars.
De la frontière Ethiopienne à la ville de Tadjoura, cette route est, depuis la nuit des temps, celle des caravanes de sel, mais aussi jusqu'au siècle dernier celle du trafic d'esclaves, d'armes et de cigarettes. Elle a attiré les plus grands aventuriers, les plus grands trafiquants d'armes qui ont écoulé pendant des années les stocks de fusils et de munitions qui restaient en Europe après les différentes guerres. Arthur Rimbaud, Henry de Monfreid et bien d'autres, sont tombés sous le charme de ce pays splendide et spectaculaire, et des affaires plus ou moins louches que l'on pouvait y faire.
Aujourd'hui, cette route est toujours empruntée par les caravaniers qui vont vendre le sel du Lac Assal en Ethiopie. Même si Djibouti est une République, c'est toujours le Sultan qui "règne" et règle les affaires civiles sur le territoire des Afars. Ces tribus nomades vivent dans un réel esprit de liberté, et l'aventure est toujours au rendez-vous.

Vendredi 05 Février 2010
plus d'infos
Djibouti au bord de l'asphyxie

Un reportage de Ramon Gutierrez et Denis Bassompierre (durée 15 minutes)
Une production France Télévisions-Thalassa

Des capitaines qui perdent patience, des navires qui attendent au large une place à quai, et des bateaux militaires qui arrivent d'un peu partout, voilà la situation du port de Djibouti. Un port saturé depuis que les conflits et les tensions dans la corne de l'Afrique ont conduit les armateurs et les militaires à privilégier la petite république indépendante, seul havre de sécurité dans la région.
Mais ce succès des installations portuaires djiboutiennes fait le malheur de l'Ethiopie. Cet immense pays de 65 millions d'habitants, enclavé, ne dispose d'aucun accès maritime. Tous ses échanges avec le monde extérieur transitent par ce port. L'Ethiopie a beau assurer 85 % de l'activité du port de Djibouti, son statut est loin d'être privilégié.
Des difficultés auxquelles s'ajoutent les tensions sur l'unique route qui permet de ravitailler le pays. Un ruban de bitume fatigué par lequel transitent quotidiennement plus de 600 camions.
Face au risque économique, Addis Abeba cherche des alternatives. Des solutions existent mais pour l'instant, l'Ethiopie préfère faire confiance à son minuscule voisin au risque un jour de connaitre la paralysie.

Vendredi 05 Février 2010
plus d'infos
Francesca fille des coraux

Un reportage de Jeanne Mascolo de Filippis (durée 11 minutes)
Une production MC4

Francesca Benzoni, 35 ans est une biologiste italienne de l’université de Milan. Spécialisée dans la classification des coraux tropicaux, elle éprouve une double passion pour son métier de naturaliste et pour la plongée, ce qui lui permet de voyager à travers le monde.

Son but: réussir -à travers une double approche génétique et morphologique- à définir les frontières entre les différentes espèces de coraux. Son directeur de laboratoire dit qu’elle est la personne la plus douée qu’il connaisse dans ce domaine.

Cependant Francesca, « italienne à 100% », a fait une promesse à sa mère, celle de ne jamais s’immerger dans le lac de Côme, sa ville natale. Promesse facile à respecter pour cette fille qui n’aime que l’eau salée.

Vendredi 05 Février 2010
plus d'infos
Un confetti français

Un reportage de Juliette Lambot et Guy Nevers (durée 16 minutes)
Une production France Télévisions - Thalassa

En 1862, les autorités françaises signent avec le Sultan de Tadjoura une concession sur le Territoire d'Obock.
Les Anglais sont au Yémen, les Italiens en Erythrée, le canal de Suez vient d'ouvrir et les français ont besoin d'un port stratégique sur la route de leurs colonies. Avec le développement du commerce et des routes maritimes, le port d'Obock ne suffit plus ; il faut aux français un port en eaux profondes, un lieu sûr qui ouvre la voie vers l'Ethiopie. Ils créent au sud le port et la ville de Djibouti, la capitale actuelle de la République. Après l'indépendance, les français sont restés, mais ils ne sont plus les seuls. Les militaires américains sont arrivés en force, suivis des allemands, des espagnols et des japonais. Aujourd'hui, avec la montée de la piraterie et les conflits voisins, le territoire de Djibouti est le seul point stable de ce coin du monde. C'est aussi le seul pays francophone de la corne de l'Afrique.

Vendredi 05 Février 2010
plus d'infos
Retour au pays des pirates

Un reportage de Kader Bengriba, Romain Hamdane et Laurent Alexandrzak (durée 28')
Une production Impact Presse

Il y a un an, Kader Bengriba et Romain Hamdane sont partis à la rencontre des pirates qui terrorisaient les bateaux traversant le golfe d’Aden. Au Puntland, la région nord de la Somalie, ils ont montré la pauvreté et la déconcertante facilité avec laquelle les pêcheurs se transformaient en pirates.
Un an après, les deux journalistes reviennent sur place et constatent que la situation a empiré. Au Puntland, pas moins de 12 navires et plus de 270 personnes sont maintenus en otages en ce début de mois de Janvier 2010. Le schéma est toujours le même, les pirates attaquent les bateaux et
attendent des mois pour libérer les otages contre rançon. L’Union Européenne a déployé une force navale en mer Rouge et dans l’Océan Indien : le dispositif Atalanta. Un an après sa mise en place, si les prises d’otages ont diminué en mer Rouge, les attaques sont de plus en plus
fréquentes. Au Puntland, les autorités locales tentent de lutter contre les gangs de pirates. Sur le terrain la tension est importante, et on redoute l’escalade de la violence.


13 commentaires:

Anonyme a dit…

Très bel article. Vous avez bien détaillé ce que contenait ce reportage qui lui même était très bien. Mais c'est plutôt superficiel quoi qu'il soit difficile de montrer l'ambiance d'un pays en un reportage. Comme on dit souvent, les reportages montrent les belles choses d’un pays car ils veulent instruire tout en attirant les touristes. Cependant, la vie n’est pas la même ici. Est-ce qu’on vous a montré tout ses pauvres gens qui dorment par terre sur un carton ? Ceux qui n’ont pas de logements ? Ou encore qui ont à peines de quoi se nourrir ? Aussi sait-on que seulement 40% ont accès à l’eau courante au robinet dans le logement … et la liste est longue ! Vous n’imaginez même pas le nombre de détritus qui se trouve à même le sol. Autrement dit, les reportages sont parfois trompeurs, mais ce reportage voulait surtout les aspects de Djibouti par rapport au monde et non en lui-même.

Des informations complémentaires issues du Rapport National sur le développement humain de 2007 qui peuvent vous être utiles :

34.84% souffre de pauvreté humaine (valeur de l’IPH 1 en 2007 selon la banque mondiale)

L’IDH était de 0.513 pour 2007 selon la banque mondiale


Audrey et Gaëtan élèves de 1ère ES du Lycée Français de Djibouti.

Anonyme a dit…

Pour m'a part, je trouve que ce documentaire est incomplet malgré le fait que Djibouti soit un petit pays. Ce documentaire ne présentant que les aspects « positif » de Djibouti. Ce fut pour moi le défaut de ce reportage, même si je comprends tout à fait que l’on ne puisse pas parler de tous les aspects de Djibouti en un reportage. Pour moi, personne vivant ici depuis toujours, je sais parfaitement bien que Djibouti ne se résume pas que à cela. En effet, l’IDH de Djibouti pour 2007 est de 0.513, de plus 34.84% de la population souffre de pauvreté humaine en 2007 (valeur de l’IPH : 1 en 2007 selon la banque mondial). En conclusion, ce documentaire aurai était plus complets s’il avait parlé de tous les aspects de Djibouti et non pas seulement des aspects positifs.

Abdoulkarim Rawiya 1ère ES, LFDDJ.

Anonyme a dit…

Je trouve que ce qui est dit sur Djibouti dans Thalassa n'est pas vraiment exact car les bâteaux ne viennent pas que pour remédier à la piraterie. Ensuite, le commerce entre Djibouti et l'Ethiopie est certes bénéfique aux deux pays mais il ne faut pas négliger que ce trafic de camions détériore les routes et crée parfois des embouteillages. On déplore aussi de nombreux accidents de la route.

Lycée Francai de Djibouti
ELMI HERSI
Abdoulkarim
1°ES

Anonyme a dit…

votre article reflète bien les caractéristiques de la ville de Djibouti.Cependant la partie des échanges avec l'éthiopie est pour nous importante. En effet, c'est plus de 800 camions qui circulent par jour ce qui représente une part très importante de l'activité économique de ce pays. Ceux-ci ne sont pas toujours sans conséquence puisqu'ils causent des accidents routiers souvent mortels. Ces camions circulent jour et nuit sans pour autant respecter les codes élémentaires de sécurité.
Daoud Haweya et Coulibaly Kinafo
1ere ES; Lycée français de Djibouti.

Anonyme a dit…

Vous avez bien su retranscrire ce que l'émission Thalassa vous laissez voir sur Djibouti. C'est une très belle émission, réaliste qui a su retranscrire les aspects attrayant de Djibouti.

Cependant ce n'est pas que ça, le quotidien est bien différent, Il faut retenir que Djibouti a eu et entretien toujours une certaine relation avec la France qui est resté bien longtemps privilégiée, de nos jours d’autre pays s’investissent dans ce petit pays du au récent conflit et/ou par exemple en ce qui concerne les Etats-unis ce pays représentait un point de stabilité pour la lutte contre le terrorisme des pays alentour. En ce qui concerne la population ,41% se situe en dessous du seuil de pauvreté, l’accès a la santé et à l’eau potable reste difficile surtout dans la périphérie de la ville, les quartier de Balbala, sorte de bidonville, la ou les nomades qui se sédentarisent installent leur maison en tôle.
La majeur partie de la population se situe dans Djibouti ville, c’est donc la que se retrouve la majeurs partie de l’activité économique avec principalement le port de Djibouti qui est sans doute la chose la plus connu de ce pays. Cependant il ne faut pas oublier les nouvelles activités qui se développent tel que le tourisme par des excursions dans le pays et un réseau hôtellerie. Djibouti offre des paysages magnifiques et une vie particulière qui devrais vous donnez envie de le visiter.


Aubron Tricia élève de première ES

Anonyme a dit…

Votre article est très intéressant, cependant,nous avons un point de vue plus concret sur le territoire de Djibouti , la vie y est plus difficile que ce que peuvent le montrer certains reportages.

Mais vous, que pensez-vous de ce que vous voyez de Djibouti dans ces reportages ?

Ces derniers temps nous avons réalisé une exposition sur le développement durable, en effet , nous participons au concours de Thalassa.Nous avons donc décidé de sensibiliser, les classes de CM1 à la Terminale, sur les causes et les conséquences de la pollution et comment les éviter par des gestes ou des comportements simples et écologiques.

Pour cela nous avons créé un diaporama, une exposition grâce à des panneaux et un test dans lequel les élèves pouvaient calculer leur empreinte écologique. Dans l'exposition nous avons mis en évidence des sites dégradés de Djibouti par des photos (pollution aquatique et terrestre), la mission TARA (escales et objectifs) et des interviews de scientifiques djiboutiens et français spécialisés dans le domaine du développement durable à Djibouti.

Cette exposition a été un grand succès auprès des sections primaires et secondaires et même au niveau des professeurs. En effet le diaporama a été copié en plusieurs exemplaires pour que les professeurs l'étudient plus en profondeur.

Avant notre exposition nous avons eu la chance de pouvoir visiter le bateau de la fameuse mission TARA.

CARADEC Cindy 2ndeC
HOUCHARD Noémie 2ndeC

Option SES LFDDJ

Anonyme a dit…

Votre article est très intéressant, cependant,nous avons un point de vue plus concret sur le territoire de Djibouti , la vie y est plus difficile que ce que peuvent le montrer certains reportages.

Mais vous, que pensez-vous de ce que vous voyez de Djibouti dans ces reportages ?

Ces derniers temps nous avons réalisé une exposition sur le développement durable, en effet , nous participons au concours de Thalassa.Nous avons donc décidé de sensibiliser, les classes de CM1 à la Terminale, sur les causes et les conséquences de la pollution et comment les éviter par des gestes ou des comportements simples et écologiques.

Pour cela nous avons créé un diaporama, une exposition grâce à des panneaux et un test dans lequel les élèves pouvaient calculer leur empreinte écologique. Dans l'exposition nous avons mis en évidence des sites dégradés de Djibouti par des photos (pollution aquatique et terrestre), la mission TARA (escales et objectifs) et des interviews de scientifiques djiboutiens et français spécialisés dans le domaine du développement durable à Djibouti.

Cette exposition a été un grand succès auprès des sections primaires et secondaires et même au niveau des professeurs. En effet le diaporama a été copié en plusieurs exemplaires pour que les professeurs l'étudient plus en profondeur.

Avant notre exposition nous avons eu la chance de pouvoir visiter le bateau de la fameuse mission TARA.

CARADEC Cindy 2ndeC
HOUCHARD Noémie 2ndeC

Option SES LFDDJ

Anonyme a dit…

VISITE DU BÂTEAU DE THALASSA:

Lors de notre visite du bâteau, nous avons pu voir que les scientifiques ont à leur disposition: 2 laboratoires, une petite salle de réunion et près de cette salle se trouve une cuisine, une rosette ( pour prélever les échantillons de gaz présent dans l'air qui se situe à l'arrière du bâteau ), un autre endoit où ils stockent les échantillons prélevés dans la mer, et des douches.
Nous avons été bien acceuilli par le mécanicien, le photographe, le cuisinier et le caméraman; mais nous n'avons pas pu rencontrer les scientifiques.

DOVA Christine 2°C
Lycée Français de Djibouti

Anonyme a dit…

Votre article est très bien rédigé malgrè le fait que vous ayez mis de coté les aspects négatifs de ce pays.
Ayant visité le voilier TARA nous avons pu constater le matériel important qu'il transportait. Nous avons vu la manière dont ils vivent à bord de ce magnifique bateau. Si nous avions pu faire l'expedition avec eux nous n'aurions pas hésité à les suivre.
Par la suite nous avons réalisé une exposition sur le developpement durable dans notre lycée. Nous avons tout d'abord réalisé un diaporama qui donné une définition du developpement durable avec des conséquences et des solutions pour préserver l'environnement. Dans cette exposition, il y avait aussi un panneau avec des photos "chocs" des dechets à Djibouti. Nous avons parlé de l'expedition de TARA et de leurs escales. Nous avons terminé en mettant les photos des personnes que nous voyons en binome pour notre concours d'Avril avec l'expédition TARA.

DAOUD KAMIL Koïna
CHEVALIER Ophélie
Seconde C (ses)
Lycée Français de Djibouti

Anonyme a dit…

Votre article est très bien détaillé mais ce qui serait plus intéressant c'est votre avis sur djibouti,vous qui êtes si loin.
Par exemple, nous avons pu rencontrer lors de la visite que nous avons effectué sur le bateau de l'expédition Tara des membres d'équipages qui nous ont servit de guide et nous ont expliqué le but de leur expédition, leur financemente... et nous ont bien sûr fait visiter le bateau en profondeur tout en nous abreuvons d'informations le concernant ainsi qu'en répondant à nos questions pertinentes. Nous avons d'ailleurs fait un peu de sport en montant l'échelle de coursive (événement très marquant pour certains d'entre nous).
Elèves sérieux que nous sommes, nous avons réalisé une exposition sur le développement durable à Djibouti, samedi 13 et dimanche 14 février, en espérant que certains membres de l'équipage pourraient y assister. Ce projet de notre classe a été un énorme succés, dû à notre très grande implication, qui a su retenir l'attention des plus jeunes comme des plus grands. Il était principalement composé de trois poste, un diaporama portant sur le sujet de l'exposition, des panneaux montrant les différents aspects du dévelopement durable à Djibouti avec beaucoup d'interviews de personnes impliquées, et un test d'empreinte écologique que vous pouvez faire car accessible sur le net.
SALAH ELMI Mohamed et AOUAD IZZI Erwann en 2ndC au Lycée Français de Djibouti

Anonyme a dit…

Bonjour,
tout d'abord votre article est trés complet.malgré le fait que vous n'ayez pris que les aspects positifs de notre pays.lors de notre visite du bateau de la mision TARA nous avons constaté que la vie de scientifique ne se resume pas a des journées en labo! meme si le bateau est tres etroit le vie a bord est très agréable. De plus nous avons organisé une exposition résumant le parcours de la mission et la question du développement durable ansi qu'un état des lieux du concours de la mission Tara par les élèves de 2nd option ses. Ce fut une exposition très reussie, et les articles de l'expo seront bientot mis en ligne. Quoi qu'il en soit bravo pour ce résumé de l'émission thalassa aussi reussie que d'habitude, au revoir
AHMED sarah, MAHDI moulki 2nd C LFDDJ

Anonyme a dit…

Nous avons organisé une exposition dans notre lycée pour sensibiliser les personnes concernant le développement durable.
Grâce à un site internet, les élèves venu à notre exposition ont pu calculer leur empreinte écologique, ce qui a sensibilisé beaucoup de personnes.
Nous avons aussi fait un diaporama, des panneaux, contenant les conséquences concernant le gaspillage de l'eau,etc. et les solutions pour éviter l'augmentation de la température en utilisant des panneaux solaires ( ce qui serait intéressant pour Djibouti car il y a du soleil prèsque tout le temps ici ), etc.

DOVA Christine 2°C
Lycée Français de Djibouti.

Anonyme a dit…

A mon avis votre article est bien redigé mais vous ne parlez que de l'aspect positif de Djibouti nous vivons à djibouti ce que vous avez écrit ne correspond pas à ce que nous vivons mais
correspond a ce que verrai un etranger a Djibouti.Nous vivons a Djibouti est pour nous cet un pays qui rencontre des difficultes en ce qui concerne les quartiers défavorisés et les gens pauvres et les sans abris vivent tres difficilement.
ayant visité le bateau de la mission de tara nous avons pu voir beaucoup de materiel et d'equipements pour les differents activités maritimes.
ALI Nadia et Houssein Fadila 2CLFDDJ