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30/11/2008

Comparaison des modèles familiaux

Introduction au projet

■Nous confronterons 2 modèles culturels qui sont celui de la France et du Sénégal, qui semblent nous paraître de part leur éloignement géographique très différents, mais qui peuvent avoir des points communs du fait de la colonisation du Sénégal par la France.

Dès 1659, les Français commencent à s’installer au Sénégal qui devient officiellement une colonie française en 1895. Ainsi, quand la France s’installa au Sénégal, elle concentra tous ses efforts sur le gouvernement et sur les écoles. A présent, le français est dit " langue scolaire " malgré qu’elle soit toute de même la langue officielle du Sénégal car seule l’élite l’utilise pour s’occuper des affaires du gouvernement. Donc le Sénégal n’assimila pas toute la culture française malgré que celle-ci soit dominante.

Tous au long de notre projet, nous allons donc confronter différents points de la culture sénégalaise et française : nous étudierons la famille, la place de la femme dans les deux sociétés, la religion, l’alimentation etc...

Anaïs.L et Laurianne.L



LA CULTURE SENEGALAISE ET FRANCAISE

Nous aborderons dans ce second article le sujet de la famille en confrontant le modèle français et sénégalais.

● Le modèle familial français :

-Monogame (mariage dans lequel un individu n’a qu’un seul conjoint en même temps)

-Exogame et hétérogame (le choix du conjoint est libre)

-Le mariage homosexuel n’est pas autorisé cependant il existe des couples homosexuels qui peuvent s’unir aujourd’hui par le biais du Pacs.

-La répartition des taches au sein d’un couple sont de plus en plus équilibrées selon le principe de l’égalité des sexes.

-Il existe plusieurs modèles familiaux français :

La famille nucléaire qui se compose d’un couple et d’enfants (majoritairement 2 enfants). Ce modèle est le plus représenté en France.

La famille recomposée qui peut prendre des formes très diverses, du fait de l’augmentation des divorces. Ce modèle est de plus en plus fréquent en France.

Le modèle famillial sénégalais :

-D’après l’article 133 du Code le la famille du Sénégal, le mariage peut être :

∙Sous le régime de la polygamie (soit 4 épouses maximum)

∙Sous le régime de limitation de la polygamie (2 ou 3 épouses)

∙Soit sous le régime de la monogamie

Un sénégalais choisissant un mariage monogame ne peut revenir sur sa décision au cours de sa vie.

Alors qu’un sénégalais choisissant un mariage polygame ne peut revenir sur sa décision que lorsque son but est de le rendre plus restrictif : passage de 4 épouses à 3,2 ou de devenir monogame.

-Choix du conjoint imposé pour la femme car elle se plie aux exigences de l’homme qui la choisit. La femme passe de la tutelle du père à la tutelle maritale sans avoir aucune liberté.

-Répartition des taches n’est pas égalitaire selon les sexes de chacun. L’homme et la femme ont chacun leur taches bien précises.

La famille française est assez restreinte en comparaison de la famille sénégalaise qui compte de nombreux membres au sein de la cellule familial du fait des plusieurs mariages. Mais en France le nombre de membres au sein d’une famille (au sens non élargie) peu rapidement augmenter s’il y a un divorce et recomposition d’une autre famille.

Anaïs.L et Laurianne.L


25/11/2008

Introduction





Sitographie
:


Notre ambition n'est pas de compiler les différents sites de SES , il existe comme nous allons le voir d'excellents sites qui ont compilé les différents sites de sciences économiques et sociales accessibles sur la toile .
notre objectif serait de faciliter la recherche d'élèves de lycée qui souhaitent disposer d'une information qui leur soit accessible . Nous allons donc sélectionner les sites qui nous paraissent les plus accessibles aux élèves en fonction de critères que nous sommes entrain de définir :

1. les sites sont-ils rédigés dans un style accessible aux élèves ?

2. les sites comportent-ils des ressources qui facilitent le travail d'un élève

  • des cours
  • des TD
  • des exercices de révision ou de compréhension
  • des sujets si possibles corrigés
  • des thèmes d'actualité
  • des compléments de cours ou d'approfondissement
  • etc
3. les sites sont-ils rédigés par :
  • des enseignants de SES dans le cadre officiel (un lycée , une académie)
  • des enseignants dans le cadre d'un site personnel
  • des élèves
  • des professeurs de faculté
  • des institutions

4. les sites ont-ils une forme attrayante :

  • le design est-il attirant
  • est-il illustre par des photos, graphiques , etc
  • comporte t'il des ressources audio ou des vidéos
  • le style est il décalé ou plus académique
Finalement notre objectif n'est pas de noter les enseignants ( ce serait assez bizarre) mais de mettre à disposition un regard différent et plus proche des élèves


Pour commencer en introduction nous allons vous conseiller deux sites qui opèrent une compilation très complètes des différentes ressources accessibles sur la toile :

  1. le premier toile SES est celui tenu par une enseignante de l'académie de Strasbourg qui fournit une liste complète de ressources sans jugement aussi bien d'enseignants, que de sites académiques , que de professeurs de faculté, ou de journaux : nous reparlerons de ce site très complet par la suite : Des cours en ligne
  2. le second est le site de l'académie de Limoges qui fournit souvent les mêmes informations mais qui sont présentées diffféremment (chaque site comporte une petite notice de présentation :ici
Damien et Guillaume

Introduction



LE FOOTBALL: UN FAIT ECONOMIQUE, POLITIQUE ET SOCIAL.


introduction :

Le football (ou soccer pour l’Amérique du nord) est un sport collectif opposant deux équipes de onze joueurs dans un stade. L'objectif de chaque formation est de mettre un ballon sphérique dans le but adverse, sans utiliser les bras, et de le faire plus souvent que l'autre équipe.

Codifié par les Britanniques à la fin du XIXe siècle, le football s'est doté d'une fédération internationale, la FIFA, en 1904.
Pratiqué en 2006 par environ 264 millions de joueurs à travers le monde, le football possède le statut de sport numéro un dans la majorité des pays. Certains continents, comme l'Afrique, l'Amérique du Sud et l'Europe, sont même presque entièrement dominés par cette discipline.
La simplicité du jeu et le peu de moyens nécessaires à sa pratique expliquent en partie ce succès.
Le calendrier est dominé par deux types d'épreuves: celles concernant les clubs et celles des équipes nationales. La Coupe du monde est l'épreuve internationale la plus prestigieuse. Elle a lieu tous les quatre ans depuis 1930. Pour les clubs, championnats nationaux et autres coupes sont au programme des compétitions. La Ligue des champions de l'UEFA, qui est disputée en Europe mais qui possède des équivalents sur les autres continents, est le trophée le plus convoité de ce sport, malgré la mise en place récente d'une Coupe du monde des clubs, encore à la recherche d'une légitimité.
Mais nous n’allons point étudié la dimension sportive de ce sport, en effet, nous analyserons sa dimension économique, sa dimension politique et sa dimension sociale. Nous traiterons par exemple, du marché des transferts, de l’investissement des chefs d’états ou autres hommes de pouvoir dans le football ou bien encore de l’image et des répercussions de cette discipline dans le monde.

guillaume et Samir


thème la violence des jeunes


Les racines du mal ?


Le 16 avril 2007, l’Amérique connaît le massacre scolaire à l’arme à feu le plus meurtrier jamais connu jusqu’ici. 33 morts, voilà le résultat du massacre de la fusillade de Virginia Tech. L’Amérique est elle plus violente ? Pourquoi la majeure partie de ces massacres ont lieu dans ce pays ? Comment expliquer ces faits ? Par la folie des jeunes, c’était mieux avant diront certain, mais les raison sont certainement plus complexes à expliquer, surtout si l’on part de la racine d’un système.

Le système Américain a ses particularités, auquel les Américains sont farouchement attachés.:

  • Le second amendement de la constitution par exemple. Ah ! Sans cesse il revient au cœur du débat, mais qu’est-ce ? Diront certain. Tous simplement le droit de détenir des armes chez lui ou dans sa voiture.
  • Et il n’est pas question de toucher à ce droit pour beaucoup. Ainsi, un élève de 15 ans par exemple peut sans problème se servir de l’arme de son père ou plus surprenant encore, s’en acheter une. On peut d’ailleurs voire nombre de père emmenant leur enfant dans un magasin d’arme pour offrir à son fils son premier objet de défense absolue.

En France, l’achat, la détention ou encore le transport d’arme est soumis a une stricte réglementation. Et paradoxalement, faible est le taux de meurtre dans des écoles en France.


Faits liés ? En tous cas trente mille Américains sont tués chaque année par arme à feux, un chiffre supérieur aux pertes subit a cause de la guerre ! La violence est donc très présente dans cette société ou un enseignant a du payer une amende pour avoir interdit a une élève de garder son arme en cours. Les problèmes de violence dans un système viennent souvent de la racine, si la violence est déjà omniprésente, il ne sera pas surprenant que l’élève la reproduise. Simple exemple, ou réalité que l’on ne peut assumer ?

Louis R

Elie L




Quelle sécurité sociale aux Etats-Unis (2)



Quelle sécurité sociale aux Etats-Unis ?: entre Etat Providence et culture de la responsabilité (2)




II. PERSPECTIVES POUR LE FUTUR

A. Des problèmes structurels


1. Une évolution démographique peu favorable

Certes comparativement à de nombreux pays européens l’évolution démographique des USA traduit un dynamisme réel (fécondité, immigration ) mais un sujet d’inquiétude grandissant concerne le fait que le fonds alimentant les prestations sociales ne soit pas en mesure de faire face financièrement à ses engagements au 21ème siècle, alors que l’on s'attend à une augmentation considérable du nombre de personnes âgées aux États-Unis.
Le ratio actifs cotisants pour retraités qui était de 16,5 pour 1 en 1950, est tombé à 3,4 pour 1 en 2000 et devrait tomber à 2 pour à 1 en 2040.
Les responsables politiques ont proposé diverses façons de combler le déficit prévu, mais une solution à long terme est toujours en discussion. Pour l’instant, le dispositif des prestations sociales génère encore un surplus financier.
Le Conseil d’administration annonce cependant que selon les projections à moyen terme, ce fonds sera déficitaire en 2041.

2. Envolée des coûts médicaux


Au cours des 40 dernières années, le coût des soins aux États-Unis a considérablement augmenté. Les dépenses de santé sont passées de 204 dollars par personne en 1965 à 7.026 dollars par personne en 2006. Les dépenses de santé en 2006 se sont élevées à 2,1 billions de dollars, soit 16% du produit intérieur brut (PIB), dépassant la croissance de l'économie globale de 3 points. De même, les employeurs ont dépensé 331 milliards de dollars en 2003 pour l'assurance santé de leurs employés, soit une augmentation de 50% depuis 1998. Ceci représente une moyenne de 3,80 dollars de l’heure pour chaque employé cotisant à l’assurance maladie. Par conséquent, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à demander à leurs employés de payer une part plus importante des coûts de santé, voire même à supprimer totalement la couverture maladie.

3. Les non assurés

Un des défis majeurs auxquels les États-Unis sont soumis en matière de santé est de savoir comment fournir des soins médicaux à ceux qui n’ont pas les moyens de payer une assurance maladie mais qui ne répondent pas aux critères permettant de bénéficier des dispositifs Medicaid ou Medicare. Il a été estimé qu’en 2006, 15,8% des Américains (soit approximativement 47 millions de personnes), et 11,7% des enfants âgés de moins de 18 ans (soit 8,7 million de personnes), étaient sans couverture médicale pendant au moins une partie de l’année. On trouve parmi eux des enfants ou des adultes sans emploi ou dont l’activité salariée n’offre pas de couverture médicale ou qui vivent juste au-dessus du seuil de pauvreté. Ils peuvent recevoir gratuitement ou pour un prix modique des soins d’urgence dans la plupart des hôpitaux et centres de santé municipaux, mais ils ne parviennent souvent pas à bénéficier de soins réguliers ou préventifs. Une loi fédérale de 1986 oblige les hôpitaux à traiter les patients dans les services d’urgence indépendamment de leur solvabilité.
Ainsi contrairement à une idée répandue, les hôpitaux ne laissent pas mourir dans la rue ceux qui n’ont pas les moyens de payer leur facture. La loi fédérale de 1986 interdit de refuser de soigner une personne malade. Mais cela génère un effet pervers : La conséquence en est l’émergence d’une médecine d’urgence, où les malades attendent d’être très mal en point pour se faire soigner. L’absence de prévention fait que, malgré toutes ses insuffisances, le système de santé américain revient horriblement cher.
Le sixième de la population qui n’est pas assuré se trouve à la confluence de deux phénomènes : certains ne veulent pas s’assurer parce qu’ils n’en voient pas l’utilité, et d’autres ne peuvent s’assurer parce qu’aucune formule n’est disponible pour eux. La majorité des assurances sont fournies par des compagnies privées. Elles peuvent refuser de couvrir un type de traitement, chaque acte qui sort de l’ordinaire faisant l’objet d’une demande préalable. Elles peuvent refuser de couvrir une maladie qui relève de ce que l’on appelle une pre-existing condition: un problème de santé antérieur à l’adhésion du souscripteur. Pour cette même raison, les assurances privées peuvent refuser un souscripteur individuel qui présente un trop grand risque financier, et même annuler sa couverture en cours de route. Certains États américains interdisent cependant cette dernière pratique

B. Aggravées par la situation économique:


1. Le coût de la protection sociale pour les entreprises devient insupportable :

Jusqu'à un passé récent, les grandes entreprises offraient des pensions confortables auxquelles les employés contribuaient en cotisant sur la base du volontariat. Les plus généreuses étaient celle des travailleurs de l’automobile, négociées à l’âge d’or de cette industrie, après la dernière guerre mondiale. Elles offraient une retraite et une assurance-maladie couvrant l’ensemble des soins pour les employés et leur famille, la totalité de la retraite et la prise en charge des soins étaient assurées pour le conjoint jusqu'à sa mort.
Ce système est considéré comme en partie responsable des difficultés extrêmes que traversent les trois géants américains General Motors, Ford et Chrysler. La protection sociale des retraités et de leurs veuves représente un surcoût de 1400 dollars ($) par véhicule produit à Detroit. Lors de négociations historiques, les constructeurs ont donc révisé ces contrats avec le tout puissant syndicat de l’automobile United Auto Workers (UAW) qui, avec un réalisme qui n’a pas toujours été apprécié par ses adhérents, a reconnu que la survie de leur activité était à ce prix.
Ce syndicat est lui-même en perte de vitesse, car les constructeurs étrangers qui s’installent dans des États américains pratiquant the right to Work ("le droit de travailler") -essentiellement dans le sud des États-Unis, où se développe une nouvelle grande région industrielle- échappent à ses contraintes. Les employés n’y sont syndiqués que s’ils le souhaitent, les syndicats ne contrôlant pas l’embauche ou les salaires comme dans les États du nord. Quel que soit le régime, les salaires ne sont pas très différents, puisqu’ils sont dictés par la loi du marché, mais la prise en charge des retraites peut être réduite. Les prestations sociales offertes par une entreprise relèvent en effet d’un contrat privé qui peut être renégocié


2. Les conséquences négatives de la crise financière

La grave crise financière que les États-Unis traversent à l’automne 2008 a mis en lumière la fragilité du système social américain. Celui-ci dépend en effet largement des entreprises, qui gèrent l’assurance-maladie et une partie des retraites de leurs employés. Une personne qui perd son travail perd donc, du même coup, une grande partie de sa couverture sociale. Une part importante du réseau de protection relève de la responsabilité individuelle. Elle est financée par une épargne généralement placée en bourse. Les conséquences des soubresauts économiques ont donc des répercussions sur la vie quotidienne des citoyens, dont on ne soupçonne pas l’ampleur à l’étranger
Le principe est simple: l’employé investit chaque mois une fraction de son salaire dans un portefeuille. L’entreprise contribue à ce portefeuille en versant une somme soit équivalente, soit supérieure, soit inférieure. La composition de ce portefeuille est déterminée par l’employé, en fonction de son goût du risque. Il est recommandé de panacher au maximum ses investissements, mais certaines entreprises incitent leurs employés à privilégier leurs propres actions: c’est ce qui a largement provoqué la ruine des employés d’Enron, qui avaient été poussés à investir massivement dans leur compagnie.

Lors de la tempête qui a secoué la bourse au début du mois d’octobre, certains Américains ont ainsi perdu jusqu’à 20% de leur épargne retraite en une dizaine de jours. Beaucoup de ceux qui s’apprêtaient à quitter le monde du travail reconsidèrent leur décision en attendant de savoir quel pourra être, au bout du compte, le montant de leur capital.
Puisqu’il n’y a pas d’âge de la retraite obligatoire aux États-Unis, les Américains quittent le monde du travail lorsqu’ils s’estiment prêts, financièrement ou psychologiquement. Certains y restent jusqu'à la fin de leur vie; d’autres y reviennent, par ennui ou par nécessité. On assiste actuellement à deux phénomènes. D’une part beaucoup de retraités ont sous-estimé leur espérance de vie et voient leurs économies disparaître avant eux. D’autre part, ceux qui ont misé l’essentiel de leurs revenus sur un portefeuille boursier, ou sur la valeur de leur maison, sont soumis aux fluctuations de marché, et sont parfois obligés de se remettre à travailler à un âge avancé. Les répercussions de cette situation sur le marché de l’emploi sont une des grandes inconnues de la crise actuelle.

Conclusion :

Il existe certes des services sociaux, mais :
• ce que l’on appelle le Welfare, l’assistance de l’État, a été démantelé en 1996 sous la signature d’un président démocrate, Bill Clinton. Et non comme on le dit trop souvent par un républicain
• On pourrait donc dire que système social américain est à beaucoup d’égards l’illustration de la formule bien connue de Fernand Raynaud, «il vaut mieux être riche et bien portant que malade et sans le sou». Avec plus de 40 millions de personnes sans couverture sociale, ce qui est sans égal pour un pays développé, la réforme de l’assurance-maladie a été l’un des grands dossiers de cette élection présidentielle.!

III. La protection sociale dans la campagne présidentielle


Les Américains sont-ils prêts pour un vrai système social?

Si les Américains envient le système de protection social d’un pays comme la France, ce sentiment s’efface lorsqu’ils comprennent le coût qu’il représente pour les individus. L’absence de contraintes sociales est l’un des facteurs du dynamisme de l’économie américaine. Les créations d’emplois se font sans arrière-pensée puisque les licenciements sont faciles, et que les petites entreprises engagent sans souci des charges sociales.
S’il y a un consensus en faveur d’un régime de couverture maladie accessible, un nombre surprenant de gens qui en auraient les moyens négligent de souscrire à une assurance. Les conseillers financiers ont du mal à persuader leurs clients qu’il faut commencer à économiser dès les premières années d’activité pour leur retraite. En fait, tout au long de sa vie, un Américain est censé se prendre en charge et gérer son avenir financier, en économisant pour sa santé, sa vieillesse, pour l’éducation de ses enfants, pour les mauvais jours… En contrepartie, il n’est pas accablé de prélèvements sociaux. Hormis à la gauche du Parti démocrate, le sentiment prévaut que l’individu est plus avisé que l’État sur la manière de dépenser son argent. Si cette philosophie peut s’épanouir en période de prospérité, elle risque pourtant d’être sérieusement remise en question dans la période de crise qui s’installe

une petite histoire des crises



Historique des crises financières


Ce n’est pas la première fois qu’une crise financière tel que celle d’aujourd’hui secoue l’économie mondiale. En effet on peut trouver d’autres exemple:

  1. tout d’abord, la Tulipomanie de 1637, qui est considérée comme la première crise financière de l’histoire. A cette époque, le prix des bulbes de tulipes s’était brusquement effondré après plusieurs années de spéculation au Pays-Bas :
  • découverte en Asie, c'est d'abord aux Pays-Bas que les premiers bulbes furent importés, au milieu du XVIème siècle, par l'ambadassadeur de Ferdinand Premier à Istanbul. La fleur exotique évoquant l'Orient Ottoman fut rapidement adoptée dans les jardins des riches hollandais et les botanistes en mutiplièrent les variétés. On en comptait plus d'une centaine dès le début du XVIIème siècle, période ou elle commenca à être cultivée aux Pays-Bas. La tulipe qui devait être adaptée à des conditions climatiques nouvelles, exigeait beaucoup de soins : privilège des riches qui en ornaient leurs diners avant même le printemps :elle suscita à l'époque classique un grand engouement.
  • A cause de cette tulipomania les bulbes atteignaient des courts très élevés au point qu'ils faisaient parfois partie des dots. On spéculait sur leur production et sur la venue de couleurs nouvelles. Il n'était par exemple par rare de voir un bulbe de tulipe vendu trois fois le prix d'un Rembrandt(peintre célèbre de l'époque) Des fortunes entières se sont ainsi créées grâce à la tulipomania
  • Fortunes trop vite faites, trop vite perdues. Cette spéculation conduisit à l'apparition d'une bulle spéculative qui ne pouvait durer éternellement. Les prix après avoir atteint un plus haut( multiplication par 60 entre 1634 et 1637) se sont effondrés (divisés par plus de 60) et ont ruiné un nombre important d'investisseurs.



2. On peut aussi citer la faillite de Law qui a eut lieu en 1720.Cette crise, qui a touché la France concernait les titres de compagnies exploitant les ressources du nouveau monde






ou celle qui eut lieu en angleterre au 18ème
: Le krach de 1720 est une crise boursière qui se déroula en Grande-Bretagne en 1720, suite à la bulle des mers du Sud entre 1711 et 1720 ; il constitue l'un des premiers krachs de l'Histoire.pour aller plus loin sur wikipédia : ici.

Image:South Sea Bubble.jpg



3 . Enfin, la crise la plus importante du 20e siècle est sans doute la crise de 1929



dont la source provenait apparamment du Krach boursier de Wall Street. Mais dont les causes sont en réalité beaucoup pluys profondes : une crise de sous consommation due à une répartition trop inégalitaire des revenus . L’effondrement des valeurs des actions entraîna de nombreuses faillites dans les banques et entreprises diminuant ainsi la consommation et donc la production. Ceci aura bien sur pour effet la baisse du pouvoir d’achat et l’augmentation du taux de chômage.









Maintenant, si nous devions comparer la crise de 1929 et la crise des Subprimes d’aujourd’hui, on s’apercevrait d’abord qu’elles ont commencé au même endroit, à savoir les Etats-Unis, mais aussi et surtout qu’elles ont les mêmes effets néfastes comme la baisse du pouvoir d’achat et l’augmentation du taux de chômage. Pourtant elles ont des caractéristiques différentes comme nous le verrons par la suite


Antony A, Valentin B, .Baptiste B.

24/11/2008

la méthodologie de la fiche de lecture



LA FICHE DE LECTURE :


  • ELABOREE EN COLLABORATION AVEC LES PROFESSEURS DOCUMENTALISTES

  • VISANT A CONSTITUER UN FONDS ACCESSIBLE AUX ELEVES

  • LA FICHE REDIGEE SERA MISE EN LIGNE SUR LE BLOG :


les élèves ont reçu avec la méthodologie , le livre dont ils auront à établir la fiche de lecture lors d'un TD . Ce projet a permis la collaboration des professeurs de SES et des professeurs documentalistes avec les élèves :


fiche de lecture première es 2008-2009
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