La production des planches Element Skateboards
Element Skateboards a pour but de satisfaire pleinement tous les types de skateurs. En effet, cette marque propose un panel de plusieurs sortes de planches. Pour cela, Element adopte plusieurs techniques et une multitude de matériaux selon le type de planche. Il existe six constructions de planche chacune différente:
Nom du modèle | Matériaux utilisés et caractéristiques | Photo du produit |
FEATHERLIGHT (1996) | -Bois (7 couches)
-Première planche d'Element avec 7 couches de bois. |
indisponible |
TWIG (1997) | -Bois
-7 couches, plus résistante et légère que la Featherlight. |
indisponible
|
FIBERLIGHT (2003) | -Bois
-7 couches, plus grande, plus large, meilleur transfert d'énergie. |
indisponible
|
THRIFTWOOD (2005) | -Bois
-8 couches (une couche de plus) -meilleur colle -plus résistante
|
in disponible |
FEATHERLIGHT HELIUM (2006) | -Bois -Petit trou avec de l'hélium
-Plus légère -résistante |
|
PUSH (2008) | -Bois -Fibre de carbone -Hélium (plus de légèreté)
-Légère -résistante aux chocs -qualité supérieur
|
|
On remarque qu'au fur et à mesure des années, la marque a su créer de nouveaux type de planche. En effet, en 1996, les planches Element était «basiques» avec 7 plies (couches) de bois d'érable. Ensuite, au fil du temps cette marque a ajouté de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux tel que le carbon ou le rajout d'une couche de bois. Après les différentes constructions, Element Skateboards produit des planches de plusieurs tailles. En effet, elle produit pour chaque type de constructions (push, featherlight....) une quinzaine de taille pour que chaque skateur soit le plus à l'aide possible sur sa planche Element. La taille d'une planche correspond aux dimensions de la planche : sa longueur et sa largeur. Ces innovations ont permis une amélioration de la qualité des planches traduisant une plus grande satisfaction des consommateurs. Ainsi, grâce à ces découvertes Element Skateboards a pu s'imposer en temps que leader mondial dans la vente de planche.
.
marc R. et grégoire P.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire